UN GRAND FORUM POUR L’AUTONOMISATION DES PROFESSIONNELS DE L’INFORMATION CULTURELLE

Les échanges entre les panelistes et les participants portaient sur le thème : "mécanismes de management et de développement des journalistes culturels".
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Dans la mouvance des activités de la cinquième édition du Grand Prix Francophilie des Médias, le grand forum sur l’autonomisation des professionnels de l’information culturelle s’est tenue ce mercredi 17 juillet à l’Institut Français du Cameroun de Yaoundé. Les échanges entre les panelistes et les participants portaient sur le thème : « mécanismes de management et de développement des journalistes culturels ».

Pendant plus de trois heures, le représentant de l’UNESCO, le représentant du Ministère des Arts et de la Culture et le représentant du Ministère des Petites et Moyennes Entreprises de l’Économie Sociale et de l’Artisanat sous la modération de G-Laurentine Assiga, présidente du Réseau des Journalistes Culturels du Cameroun, ont évoqué les astuces pour permettre aux journalistes culturels de réussir dans l’entrepreneuriat dans un contexte assez difficile. Pour le représentant du MINPMEESA : «le media doit développer un véritable modèle économique qui lui permet de se réinventer continuellement». Du côté du ministère des arts et la culture : « pour apporter des solutions efficaces aux problèmes et sollicitations des journalistes, le Minac a développé tout un pôle pour les journalistes culturels, afin de centraliser leur demande pour un meilleur accompagnement financier ».

En outre, les panelistes ont déroulé les différents programmes de financement et les mesures prises par le gouvernement du Cameroun à travers le ministère des arts et de la culture, le ministère des petites et moyennes entreprises de l’économie sociale et de l’artisanat, et des initiatives de l’UNESCO. De plus, ils ont mis en lumière les structures qui encadrent et accompagnent les industries culturelles et créatives (ICC) dont fait partie le journalisme culturelle.

Au terme des échanges il a été recommandé aux professionnels de l’information culturelle de développer des stratégies pour un meilleur épanouissement économique.

Christian ABEGA

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